supported by 28 fans who also own “Nails Deep in Wounds”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
supported by 26 fans who also own “Nails Deep in Wounds”
While this album might not be anything particularly mind-blowing, it's still a good example of how DSBM should be done. I have a soft spot for this album as its seductive gloominess helped me through a certain rough patch in my life, and I believe it to be somewhat of a hidden gem. Rest in peace, Reverend John Hex. Irritum